Domaine LEANDRE-CHEVALIER *
Présentation seulement
1, Route des Lamberts – Coulon
Dominique LĂ©andre-Chevalier
33390 ANGLADE
tel: 05 57 64 46 54
fax: 05 57 64 42 41
email: contact@lhommecheval.com
site web: http://www.lhommecheval.com
Type :
Organisme : 0
PRESENTATION
L’Homme-Cheval, ce n’est pas une créature mythique, encore moins un super-héros… Plutôt un super-vigneron : à la frontière du vignoble blayais, Dominique Léandre-Chevalier trace depuis vingt ans un chemin de franc-tireur, entre labour au cheval, plantations à haute densité et écoute de la nature, au service de vins propres et forts en personnalité.
Dans le manège de la viticulture, on trouve les trotteurs qui ne sortent jamais du rang, les galopeurs qui ne visent que le podium, les spécialistes du saut d’obstacle toujours prêts à se dépasser… Et puis il y a les autres, les fougueux, les indomptables, qui suivront toujours leur instinct et n’entreront jamais dans aucun box. L’analogie équestre n’est pas gratuite : Dominique Léandre-Chevalier (un patronyme dont l’étymologie signifie littéralement “homme-cheval”) en a fait l’une de ses marques de fabrique, du travail de la vigne au logo de ses étiquettes. Autant dire que parmi les profils énumérés plus haut, il appartient à la dernière catégorie, celle des indomptables.
Une question d’héritage(s) : Il est, en tout cas, inclassable. Lorsqu’on le rencontre, Dominique Léandre-Chevalier se présente comme “jardinier avant d’être vigneron”. Puis il détaille son parcours : “Mes grands-parents et mes parents faisaient du vin, ils étaient aussi pépiniéristes, et ils élevaient des chevaux, ici à Anglade, à une quinzaine de kilomètres de Blaye, sur la rive droite de la Gironde. J’ai grandi au contact de tout cela, mais je ne m’y destinais pas, c’est pourquoi j’ai suivi une formation auprès des Compagnons du Tour de France. J’y ai trouvé pendant plus de sept ans une seconde famille, et une autre forme d’éducation, un amour du travail bien fait. Je faisais du dessin, du staff, de l’architecture… Et puis un jour, sans trop savoir pourquoi, a surgi cette évidence : il fallait que je revienne.”